2 décembre 2004
Le voeu que je forme a le goût de l'aurore
Je salue la terre promise de tes aveux où l'infinie moiteur de nos corps enlacés se propage lentement, en vagues indolentes. On entend le plaisir s'infiltrer dans le ventre et j'ose...j'oserai...mais chut, c'est un secret. J'ouvre la tabatière des fenêtres...