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Coumarine, Petites paroles inutiles
2 juillet 2007

Entre coquelicots et tempête...j'ai choisi

Mon fond d'écran est piqueté de mille petits coquelicots de bonheur
(ceux qui me connaissent savent mon amour des coquelicots...rien qu'à prononcer ce mot: COQUELICOT...il roule dans la bouche, comme de petites perles rouges qui se mêlent un peu les pinceaux...

Et en même temps devant ma fenêtre, en ce moment même, je vois effrayée, la tempête qui se déchaîne, un vent violent qui balaie méchamment les arbres (mon dieu, pourvu qu'ils ne s'effondrent pas) la pluie coule à grandes brassées de larmes...le tonnerre éclate bruyamment alors qu'il n'a même pas fait chaud...ni beau ces derniers jours. Le temps s'égare je crois, il devient un peu fou, il perd ses repères...

Je n'aime pas ce débordement inquiétant: le tonnerre, la pluie, le vent, trop violents, trop intenses pour être honnêtes, ils me font peur: je me tiens petite et immobile devant ma fenêtre tandis que j'écris ces quelques mots, j'attends l'accalmie, la rémission de mes hypothétiques péchés...

Oui, je sais que ce n'est rien en comparaison des cyclones et autres catastrophes qui s'abattent avec une fidélité de chronomètre têtu sur les mêmes coins de monde...je sais...
Mais j'ai en ce moment le coeur un peu serré...

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Commentaires
C
mab...tu as raison et j'aimle ton expression: les pluies et vents en XXL<br /> <br /> bonjour yoyostereo...bienvenue, la vie est mouvante et parfois bien tempétueuse, oui...
C
bonjour Oviv...il y avait longtemps hein...<br /> <br /> jacques...non rien... tu es "trop"...
O
Comme une orchidée soigneusement déposée devant une fenêtre.
J
Oh ! tendre Coumarine ! En te lisant, je retrouve l’ivresse des mots et des rêves assoupis dans les coquelicots sauvages et sages…
Y
le vent, la pluie, je me sent bien la dessous comme je me sent bien durant les canicules… la meteo, ce n'est pas le calme plat, c'est comme la vie… <br /> le rouge du coquelicot est imcomparable… mais maintenant quand j'en voit je pense a Kenzo, alors que cela devrai être le contraire…
Coumarine, Petites paroles inutiles
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