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Coumarine, Petites paroles inutiles
4 août 2005

Le secret

De Philippe Grimbert

Prix Goncourt des lycéens

Je lis ce livre avec la gorge serrée

Je...

non je suis incapable d'en parler

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Commentaires
A
Alors n'en parle pas.. nous le lirons
C
Bonsoir Gilda et bienvenue...<br /> Ce livre est à livre, toutes affaires cessantes<br /> En plus il est bien écrit<br /> En plus il est aussi captivant qu'un thriller<br /> ...et traite du secret de famille dans le contexte de la shoah<br /> Deux sujets prenants dans un seul roman...
G
un petit bonsoir en provenance de chez Berlioz le vacancier, <br /> je me disais que de n'en pas parler comme ça donnait bigrement envie de lire ce livre.<br /> merci
C
Telle...<br /> ton comm me prouve que tu as remonté loin dans le temps de mon blog pour me lire...<br /> Je te dis merci de tout coeur pour ce que tu me dis<br /> Mais, sache que c un sujet que j'ai bcp "étudié"<br /> J'ai lu toute la littérature qu'il y a moyen de lire à ce sujet<br /> Je me suis penché sur le transgénérationel en veux-tu en voilà!<br /> J'ai fait un chemin personnel et opéré une catharsis par l'écriture (très efficace)<br /> Mais dans les moments de grande vulnérabilité, ce qui était pour moi le cas ces derniers jours...cette grande souffrnace remonte <br /> Mais on a tous ses souffrances...non?
T
Tu sais, Coumarine, il y une histoire de jumeaux vécue, racontée par Françoise Dolto (je ne sais plus où):<br /> <br /> Un enfant avait des comportements étranges, surprenants (je ne me souviens plus lesquels) si bien que ses parents l'ont conduit chez le pédopsychiatre. Il ressentait un manque, il se sentait incomplet.Il voulait se tuer.<br /> <br /> Au fil des séances, le médecin a eu un doute et a demandé à la mère de raconter sa grossesse. En pleurant, elle a dit qu'elle avait perdu un des deux enfants qu'elle portait après quelques mois et l'autre avait continué à se développer. Elle n'en avait jamais parlé à son fils. Il avait ressenti ce manque. Il se sentait coupable de la mort de l'autre.<br /> <br /> Et puis il a accepté ce malheur qui était de connaître la mort avant même de naître et il a vécu plus "normalement".<br /> <br /> Je t'embrasse bien fort.
Coumarine, Petites paroles inutiles
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