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Coumarine, Petites paroles inutiles
29 avril 2005

Compétences et risques, comme je vous le dis...

Imaginons que j'aie des rêves

que j'aimerais que ces rêves deviennent des vrais projets

et que ces projets deviennent réalité...

que faut-il que je fasse, et que suis-je prête à faire pour cela?

Il me faut tenir compte de deux grands axes: les compétences, et la prise de risque

Si j'accumule compétences, études, recherches, prises d'avis éclairés...et que je veux mettre mon projet en musique, il faut que à un certain moment, je prenne un ou des risques.

Que je sorte du cocon de la réflexion tranquille, sécurisante, rassurante

Prendre un risque suppose la possibilité d'échouer. et donc d'encaisser l'échec durement, dans la déception.

Si par peur de l'échec, je ne prends aucun risque, ou que j'attends indéfiniment de connaître tous les tenants et les aboutissants d'une situation ou que la conjoncture soit la meilleure possible...je suis dans la stagnation, je n'avance pas, et donc je ne réussis rien non plus

au contraire, si je prends des risques, sans avoir les compétences voulues, sans avoir pris le temps de m'informer, de me former, il est assez clair que je vais au devant de l'échec assuré (sauf coup de chance inattendu)

C'est compris???

Bon...

C'était ma petite séance de philosophie

Cela me change des considérations défaitistes sur l'Homme (le mien)

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Commentaires
A
De la compétence, une prise de risque, et un zeste d'insousiance !
C
En même temps retrouver une relation plus épanouie avec ton homme ça peut être un rêve puis un projet non ?... ;-)<br /> Bon ok, j'arrête d'insister, je t'embrasse Coum
A
C'est le manager qui parle : Si tu as les connaissances, que tu es motivé, que tu es organisé, la probabilité d'échec est nulle si l'idée de départ est bonne.<br /> <br /> Le problème c'est que les gens ont toujours tendance à se minimiser. A dire vrai, et c'est d'ailleurs pourquoi il y a autant d'autodidacte patron et d'ailleurs aussi autant de patrons pas toujours gâtés intellectuellement, ils mettent un jour à plat leur projet, il l’organise au point de le minuter, ils détectent les causes d’échecs (compétences, hasard, fournisseurs, banque, etc…), les solutionnent les unes après les autres, et se lancent. Cela n’a rien à voir avec d’éventuelle capacité initiale. C’est juste une question de méthode au final, et plus que tout au bout du compte de volonté pour voir un jour son projet se réaliser.<br /> <br /> Maintenant je ne sais pas à quoi tu penses particulièrement, mais avec la méthode, je crois que l’on peut réaliser vraiment n’importe quel rêve :)<br /> <br /> Et puis n’oublie pas ça Coumarine, il vaut mieux avoir le remord d’un échec, que de regretter toute sa vie de ne pas avoir essayé. Bref lance toi :)
Coumarine, Petites paroles inutiles
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