15 janvier 2005
Il ne faut pas oublier...
Soixante ans que l'odeur inhumaine s'est tue...
Là-bas, semée par l'absence et l'oubli, l'herbe a poussé sur les chemins ordinaires.
Mille pensées de souffrances, fantômes dérisoires, flottent toujours sur les baraques grises.
Il ne faut pas oublier...
Là-bas, semée par l'absence et l'oubli, l'herbe a poussé sur les chemins ordinaires.
Mille pensées de souffrances, fantômes dérisoires, flottent toujours sur les baraques grises.
Il ne faut pas oublier...
Coumarine
Publicité
Commentaires
A
P